Méditation

Pour s'élevé parmis les rend des guerrier il faut soit ètre sans pitié soit ètre vicieux...
ou les deux.
-Cher capitaine cet homme a été indiquer par un agent infiltrer comme un traficant de bois...( Cyana comprendrait...si on les voyait massacran un homme pour luis emprinter une forte somme,leur fin serait rapide...)

Le chef de la garde s'embla tout à fait convaincu.
-Très bien, dans ce cas, je vais l'emmener en ville. Si vous voulez bien nous aider à l'escorter, votre amulette n'a pas l'air d'une très grande solidité et je, enfin, un seul de vous deux devrais suffir.

Yohan qui n'avait rien perdu de la conversation se sentit soulagé. Il faut dire aussi que bien qui l'ait eu l'intension de traffiquer du bois, il n'en avait jamais eu l'occasion. Mais oppérons d'abord un petit retour en arrière:

Yohan est un de ces marchands principalement vendeur de textile mais qui vendent aussi quelques bois précieux. Ces marchands achètent leur bois à des exportant ce qui n'a rien d'illégale. Cependant, à leur ainsu, certain exportant sont des trafiquant. Découvrant que c'était le cas de ses fournisseurs, Yohan c'était dit que, en les suivant lors d'une de leur chasse au bois, il pourrait découvrir leur filon et prendre lui même le bois dont il avait besoin. Mais il les avait perdu de vu et c'est en les cherchant qu'il était tombé sur Cyana. Se sachant dans son tord il s'était embrouillé si bien qu'elle avai-t cru avoir attrappé un vrai trafiquant. Et ainsi de suite. Mais bien qu'il eu failli le devenir, Yohan n'était pas un traficant, n'avait encore rien fait de mal et surtout venait de prendre la décision définitive de ne jamais plus rien tenter de pareille.

-fort bien ,mais permété mois de ne point vous suivre j'ai encore du trvaille dans la forèts.
Il fallait le plus possible se dépécher et maitre le parchemin en sécuritée .il récupéra sont amulette.

-la présence d'une experte en neutralisation douloureuse devrait enpécher cet individu d'avoir des movaise idées.
Cyana adressa a Yohan un sourire sadique...

Les trois policiere et la guerrière prirent la route principale vers la ville après avoir pris soin de baillonner et de ligoter plus solidement Yohan. Son jugement serait rapide sans doute, car les trois policiers avaient eu beau cherché, il n'avait rien trouvé sur Yohan, et il ne pouvait exister aucune preuve d'un trafique innexistant.

[suite dans "Dans les bureaux du chefs de la police", Centre d'netrainement]